C’est l’un des leitmotivs du président de Naval Group. La marine française ne peut se permettre de rater le virage de la « dronisation » des forces navales. Notamment sous l’eau. Alors que le constructeur naval développe l’automatisation de la guerre des mines en mer, il souhaite aller bien plus loin en parvenant à développer un petit sous-marin autonome, capable de prendre le relais de certaines missions des sous-marins océaniques.
Naval Group vient ainsi de décrocher un premier contrat d’étude auprès de la Direction générale de l’armement (DGA) qui concerne un « drone sous-marin de combat ». Un premier pas dont se félicite le constructeur, qui ne cesse d’alerter les forces sur la rapidité des développements en cours et la nécessité de ne pas se laisser distancer comme dans le secteur aérien. En Ukraine, on a par exemple assisté à plusieurs attaques navales de drones de surface contre des navires russes.
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